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Votre empreinte écologique

18 questions entre alimentation, logement, transport et  consommation
L'empreinte écologique moyenne d'un Français est de 56 400 m²/an. Et vous?
26 juin 2007 2 26 /06 /juin /2007 13:26

Le député UMP Bernard Accoyer, 61 ans, a été élu président de l'Assemblée nationale par 314 voix sur 531 suffrages exprimés, dès le premier tour. Il succède au "perchoir" à Patrick Ollier.

Contrairement au match fratricide Jean-Louis Debré/Edouard Balladur en 2002, il n'avait aucun dissident UMP face à lui et la socialiste Marylise Lebranchu, son unique adversaire a obtenu 216 voix.

M. Accoyer devient ainsi le quatrième personnage de l'Etat et le onzième président de l'Assemblée sous la Ve République. Son prédécesseur était depuis le 7 mars Patrick Ollier, suite au départ de M. Jean-Louis Debré pour le Conseil constitutionnel. 
Il était président du groupe UMP sous la précédente législature, poste où Jean-François Copé lui a succédé.
Le nouvel homme fort du Palais Bourbon et nouveau locataire du luxueux hôtel de Lassay a aussitôt pris place au "perchoir" et adressé son "respect" à l'opposition, tout en lui suggérant de se montrer "constructive et responsable". "Pouvons-nous impunément continuer les batailles interminables, stériles et coûteuses de milliers d'amendements, conduisant à des blocages ou à des décisions autoritaires? Je ne le crois pas", a-t-il plaidé devant les 577 députés, réunis pour la première fois.

L'ouverture de la XIIIe législature a aussi été l'occasion pour les députés élus ou réélus les 10 et 17 juin de procéder à quelques réglages. (voir les résultats des élections legislatives pour la XIIIème législature)
Les députés communistes et Verts ont finalement décidé de s'allier pour constituer un "groupe technique" de 24 élus, baptisé "Gauche démocrate et républicaine", faute d'avoir à eux seuls les 20 élus nécessaires. "C'est un deal pour la législature, ce n'est pas un truc provisoire pour quinze jours", a assuré le député apparenté communiste Jean-Pierre Brard. Le groupe sera représenté par un président tournant, qui sera Jean-Claude Sandrier (PCF) dans un premier temps.

De leur côté, les huit députés radicaux de gauche ont décidé de rentrer au bercail en s'apparentant au groupe socialiste, comme sous la précédente législature. "Mais nous avons négocié avec eux la liberté d'expression, la liberté de vote et tous les moyens matériels qui nous permettent d'avoir une autonomie propre", a précisé le président du PRG Jean-Michel Baylet. Le groupe "socialiste, radical, citoyen et apparentés" comptera donc au final 203 membres et sera présidée par Jean-Marc Ayrault.

Les députés devaient encore procéder cette semaine à l'attribution de plusieurs postes-clés. 
Demain, ils éliront les six vice-présidents de l'Assemblée et les trois questeurs. Le PS, qui a droit à un poste à la questure, a choisi une femme pour le représenter avec Marylise Lebranchu. Les présidents de cinq des six commissions permanentes seront élus jeudi matin, et seront tous issus de la majorité. Le socialiste Didier Migaud prendra les commandes de la commission des Finances.
Par ailleurs, le groupe PS se réunit mercredi pour élire ses 15 vice-présidents, qui constitueront un "cabinet fantôme".

Ces dernières formalités accomplies, les parlementaires entreront dans le vif du sujet la semaine prochaine, avec la déclaration de politique générale du Premier ministre François Fillon, sans doute le 3 juillet.
Au menu, une session extraordinaire chargée. 
La conférence des présidents se réunira jeudi pour en fixer l'agenda, mais il semble déjà acquis que les députés entameront leurs débats avec le "paquet fiscal", avant de discuter des peines planchers, du service minimum et de l'autonomie des universités.

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24 juin 2007 7 24 /06 /juin /2007 04:37

Le Gouverenement de François Fillon  est en place et met en oeuvre ses promesses.
Le projet gouvernemental de réforme de la carte judiciaire, qui suppose la suppression de très nombreuses juridictions, suscite un mouvement de grève qui fait tâche d'huile chez les avocats ainsi que des réticences des syndicats de magistrats
.

En l'absence de la Garde des Sceaux, ministre de la Justice, Rachida Dati, son directeur de cabinet Michel Dobkine a reçu hier en urgence plusieurs représentants des avocats et démenti l'intention qui lui était prêtée par le Figaro de fermer immédiatement quatre cours d'appel et dix tribunaux de grande instance (TGI).
"M. le directeur de cabinet, au nom de Mme le Garde des Sceaux, dément formellement les informations parues dans la presse, selon lesquelles existerait un schéma préétabli de réforme de la carte judiciaire. Il a confirmé qu'aucun schéma de réorganisation des juridictions ne sera arrêté avant que la concertation n'ait été menée", dit le communiqué.
Il annonce une "réflexion conduite dans le cadre d'un comité consultatif" et des consultations locales. 
Alors que Rachida Dati déclarait avant-hier que les premières décisions seraient prises début 2008, aucune date n'est fournie dans le communiqué de son cabinet.
Michel Dobkine a aussi reçu hier place Vendôme les bâtonniers d'Agen, Marmande, Alès, Briey, Bourges, Châteauroux, Vichy, Moulins et Montluçon, accompagnés du président de la Conférence des bâtonniers, et les a appelés "à l'apaisement, à la concertation et à un dialogue constructif".

Selon le Figaro, le ministère envisagerait de supprimer les cours d'appel de Metz, Bourges, Agen et Nîmes. Le sort de celles de Pau et Grenoble, qui pourrait être fondues dans celles de Bordeaux et Lyon, est en suspens, ajoute le quotidien.
Les tribunaux de grande instance de Belley, Dinan, Mende, Millau ou Riom et peut-être Libourne, Bergerac, Thionville, Péronne ou Alès ne devraient pas survivre, poursuit Le Figaro.

Avant même cette annonce, plusieurs ordres d'avocats, comme à Metz et Agen se sont mis en grève cette semaine et ont cadenassé des tribunaux en Moselle (Metz), ainsi que dans le Lot-et-Garonne, l'Indre et l'Allier. Le barreau de Pau a annoncé hier une grève à partir de demain, pour toute la semaine.

Une réunion est programmée mercredi au ministère avec l'ensemble des syndicats du monde judiciaire.

Le principe général de réforme de la carte judiciaire serait de garder une cour d'appel par région et un tribunal de grande instance par département.
La France disposant actuellement de 35 cours d'appel et 181 TGI, la réforme dans son ensemble supposerait donc mathématiquement la suppression d'environ un tribunal sur deux et d'une douzaine de cours d'appel.
La refonte de la carte judiciaire, inchangée depuis 1958, a été souvent envisagée mais toujours repoussée en raison de résistances des professions de justice et des élus locaux.
Elle pose aussi un important problème de financement, qui n'a pas été détaillé par le gouvernement. 
Les bâtiments abandonnés devraient en effet être entretenus, tandis que la modification des nouvelles juridictions centrales supposerait des années de chantiers très coûteux et une modernisation.

Le budget de la justice française pour 2007, qui inclut celui des 188 prisons, jugées vétustes, est un des plus faibles de l'Europe des 27 avec moins de 7 milliards d'euros, soit 2,34% du budget de l'Etat.

L'Union syndicale de la magistrature (USM, majoritaire) ne se dit pas opposé sur le principe de la réforme de la carte judiciaire mais souligne qu'à ses yeux, c'est le rétablissement d'un fonctionnement matériel normal qui est prioritaire.
"On est en-dessous du seuil de pauvreté", a dit hier Bruno Thouzellier, son président
Le syndicat réclame que les centaines de postes manquants dans les greffes soient pourvus, afin que les jugements puissent être appliqués.
Sur le plan national, environ un tiers des peines pénales ne sont jamais appliquées faute de moyens. Certains tribunaux ont plusieurs années de retard de saisie des jugements

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19 juin 2007 2 19 /06 /juin /2007 15:54

Le secrétaire général de l’Elysée, Claude Guéant, a annoncé, le 19 juin, la composition du nouveau Gouvernement de François Fillon
(
voir la composition de l'ancien Gouvernement Fillon composé entre l'élection présidentielle et législatives ainsi que les résultats des élections législatives 2007)

Ce Gouvernement compte quinze ministres, seize secrétaires d’Etat et un haut commissaire : 

Les ministres (8 hommes, 7 femmes) dont un Ministre d'Etat sont:
Jean-Louis Borloo : ministre d’Etat, ministre de l’Ecologie, du Développement et de l’Aménagement durables
Michèle Alliot-Marie : ministre de l’Intérieur, de l’Outre-Mer et des Collectivités territoriales
Bernard Kouchner : ministre des Affaires étrangères et européennes
Christine Lagarde : ministre de l’Economie, des Finances et de l’Emploi
Brice Hortefeux : ministre de l’Immigration, de l’Intégration, de l’Identité nationale et du Codéveloppement
Rachida Dati : garde des Sceaux, ministre de la Justice
Michel Barnier : ministre de l’Agriculture et de la Pêche
Xavier Bertrand : ministre du Travail, des Relations sociales et de la Solidarité
Xavier Darcos : ministre de l’Education nationale
Valérie Pécresse : ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche
Hervé Morin : ministre de la Défense
Roselyne Bachelot-Narquin : ministre de la Santé, de la Jeunesse et des Sports 
Christine Boutin : ministre du Logement et de la Ville
Christine Albanel : ministre de la Culture et de la Communication
Eric Woerth : ministre du Budget, des Comptes publics et de la Fonction publique 

Les secrétaires d'Etat (11 hommes, 4 femmes) sont les suivants:
Roger Karoutchi : secrétaire d’Etat auprès du Premier ministre, chargé des Relations avec le Parlement
Jean-Pierre Jouyet : secrétaire d’Etat auprès du ministre des Affaires étrangères et européennes, chargé des Affaires européennes
Laurent Wauquiez : secrétaire d’Etat auprès du Premier ministre, porte-parole du Gouvernement
Eric Besson : secrétaire d’Etat auprès du Premier ministre, chargé de la Prospective et de l’Evaluation des politiques publiques
Valérie Létard : secrétaire d’Etat auprès du ministre du Travail, des Relations sociales et de la Solidarité, chargée de la Solidarité
Dominique Bussereau : secrétaire d’Etat auprès du ministre d’Etat, ministre de l’Ecologie, du Développement et de l’Aménagement durables, chargé des Transports
Nathalie Kosciusko-Morizet : secrétaire d’Etat auprès du ministre d’Etat, ministre de l’Ecologie, du Développement et de l’Aménagement durables, chargée de l’Ecologie
Christian Estrosi : secrétaire d’Etat auprès de la ministre de l’Intérieur, de l’Outre-Mer et des Collectivités territoriales, chargé de l’Outre-Mer
André Santini : secrétaire d’Etat auprès du ministre du Budget, des Comptes publics et de la Fonction publique, chargé de la Fonction publique
Jean-Marie Bockel : secrétaire d’Etat auprès du ministre des Affaires étrangères et européennes, chargé de la Coopération et de la Francophonie
Hervé Novelli : secrétaire d’Etat auprès de la ministre de l’Economie, des Finances et de l’Emploi, chargé des Entreprises et du Commerce extérieur 
Fadela Amara : secrétaire d’Etat auprès de la ministre de la Ville et du Logement, chargée de la Politique de la ville
Alain Marleix : secrétaire d’Etat auprès du ministre de la Défense, chargé des Anciens Combattants
Rama Yade : secrétaire d’Etat auprès du ministre des Affaires étrangères et européennes, chargée des Affaires étrangères et des Droits de l’homme
Luc Chatel : secrétaire d’Etat auprès de la ministre de l’Economie, des Finances et de l’Emploi, chargé de la Consommation et du Tourisme 

Un Haut commissaire garde sa fonction. Un secrétaire est nommé par avance
Martin Hirsch : haut commissaire auprès du Premier ministre, aux Solidarités actives contre la pauvreté
Bernard Laporte : secrétaire d’Etat auprès de la ministre de la Santé, de la Jeunesse et des Sports, chargé de la Jeunesse et des Sports (à compter de fin octobre 2007)

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17 juin 2007 7 17 /06 /juin /2007 23:57

Voici la composition de l'Assemblée Nationale pour la XIIIème législature:
(Voir l'article concernant ce scrutin)

Inscrits : 35 223 911
Votants : 21 130 346
Abstention :  14 093 565 (40.01%)
Exprimés : 26 026 466

Nombre de sièges obtenus:
Mouvement Pour la France : 1
Divers Droite : 9
Union pour la Majorité Populaire : 314
Majorité Présidentielle : 22
Union Démocratique Française - Mouvement démocratique : 3
Divers : 1
Régionalistes : 1
Verts : 4
Radicaux de Gauche : 7
Parti Socialiste : 185
Divers Gauche: 15
Parti Communiste : 15
 

Vous pouvez comparer avec la composition de l'Assemblée Nationale de la XIIème législature

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17 juin 2007 7 17 /06 /juin /2007 05:22

AUJOURD'HUI 17 JUIN 2007
FETE DES PERES

Si dans votre circonscription, s'organise un 
SECOND TOUR DES ELECTIONS LEGISLATIVES, 
ALLEZ VOTER
(
voir l'article sur le nombre de candidats)
VOTER EST UN DROIT, C'EST AUSSI 
UN DEVOIR CIVIQUE


L'abstention fut trop élevée au premier tour.
469 députés vont être élus ce soir.

(
voir les résultats au niveau national du 1er tour de cette élection législative)

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11 juin 2007 1 11 /06 /juin /2007 05:11

Après l'agression du juge des enfants, Jacques Noris, poignardé mardi dernier à Metz dans son cabinet, le principal syndicat de magistrats a appelé les juges français à cesser le travail lundi et à se rassembler devant les palais de justice pour demander une meilleure sécurisation des tribunaux
"Suite à l'odieuse agression dont a été victime notre collègue de Metz, l'Union syndicale de la magistrature appelle tous les magistrats à cesser le travail et à se rassembler sur les marches des palais de justice
lundi 11 juin à 14 heures", dit l'Union syndicale de la magistrature (USM) dans un communiqué.

Le syndicat majoritaire entend obtenir du gouvernement un plan qui prévoit l'installation d'au moins un portique de sécurité dans chaque juridiction et le recrutement du personnel nécessaire à son utilisation
et  appelle par ailleurs les magistrats à "exercer leur droit de retrait (à arrêter d'exercer leurs fonctions) lorsqu'ils estimeront que leur sécurité n'est pas assurée" dans leurs tribunaux.

Ce mouvement fait suite à une intervention du Premier ministre, François Fillon, qui a relancé l'idée d'une réforme de la carte judiciaire française
Les deux principaux syndicats de magistrats ont mal accueilli cette déclaration en estimant que ce dossier n'avait rien à voir avec celui de la sécurité.
Actuellement, il existe au moins un tribunal de grande instance par département, souvent plusieurs. Chacun de ces tribunaux comporte au moins un juge d'instruction.
"Il y a une carte judiciaire qui est héritée du passé. Si on veut avoir des tribunaux modernes, efficaces, avec des juridictions spécialisées et des moyens pour assurer la sécurité de ces tribunaux dans le contexte budgétaire qui est le nôtre, il faut accepter de revoir la carte judiciaire et de faire les réformes de fond qui s'imposent", a déclaré François Fillon.

Le président de l'USM (majoritaire), Bruno Thouzellier, souligne que le problème de la sécurité dans les tribunaux a déjà fait l'objet d'un rapport en 2003 sous le précédent gouvernement, resté lettre morte.
"On ne va pas attendre la réforme de la carte judiciaire pour sécuriser les juridictions. Il y a un dossier urgentissime, c'est celui de sécuriser les tribunaux", a-t-il dit. Il souligne que les portiques de sécurité sont souvent inopérants dans les tribunaux d'importance moyenne, comme à Metz, faute de personnel et qu'il n'en existe pas dans la plupart des petites juridictions.
Quant à la carte judiciaire, le président de l'USM rappelle que le précédent gouvernement avait fait adopter fin 2006 le principe de la création de "pôles d'instruction départementaux", décision restée sans effet faute de décrets d'application et de moyens financiers.

La présidente du Syndicat de la magistrature (SM, gauche), Emmanuelle Perreux, a également critiqué l'approche de François Fillon. "Je ne vois pas en quoi la réforme de la carte judiciaire répond à la problématique posée par l'agression de notre collègue à Metz", a-t-elle dit. Ce syndicat estime que la justice devrait mieux accompagner les familles confrontées au système judiciaire, avec du personnel supplémentaire, une amélioration du financement public des avocats pour les justiciables pauvres.

Le budget de la
justice française pour 2007, (6,3 milliards d'euros soit 2,34% du budget de l'Etat), est un des plus faibles de l'Europe des 27.

Le Président de la République, Nicolas Sarkozy a fait savoir le lendemain de l'agression qu'il avait appelé au téléphone le magistrat blessé pour "lui renouveler tout son soutien". Dès son rétablissement, il le recevra à l'Elysée, a dit la présidence.

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10 juin 2007 7 10 /06 /juin /2007 23:58

Voici les résultats du 1er tour de l'élection législative du 10 juin 2007:

Résultats du 1er des législatives 2007 - 
national, circonscription et bureau de vote
  National Circonscription Bureau de vote
Inscrits 43 888 483 70 513 1 250
Votants 26 525 147 42 810 633
Abstention 39.56 %   49.4
Exprimés 26 022 790 42 368 624
       
EXG 887 886 438 12
PCF 1 115 717 1 503 44
PS 6 436 156 7 850 165
PRG 343 580    
DVG 513 197 421 7
Verts 845 874 1 569 29
Ecologistes 208 465    
Régionalistes 131 585    
CPNT 213449    
UDF-Modem 1 981 119 5 671 68
Majorité Présidentielle 616 444 1 343 20
UMP 10 289 019 21 646 ELU 241
MPF 312 604    
DVD 641 592    
FN 1 116 006 1 359 24
EXD 102 110 568 14

(Voir l'article sur ce scrutin)
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10 juin 2007 7 10 /06 /juin /2007 00:07

AUJOURD'HUI 10 JUIN 2007
ELECTIONS LEGISLATIVES
1er TOUR
ALLEZ VOTER.



Voter est un droit,
alors ALLEZ VOTER.

 

(Voir l'article sur les 7 640 candidats à la députation et celui sur l'âge, le sexe et la profession des députés sortants)

Vous pensez que la santé n'a rien à voir avec la politique: FAUX. 
Les lois votées prochainement, notamment sur la franchise des soins et l'organisation du système hospitalier- tout comme la sécurité des palais de justice et la réforme des régimes spéciaux et des heures supplémentaires - seront prises par la majorité de l'Assemblée nationale. Le Sénat est majoritairement à droite.
Selon le voeu du chef de l'Etat, Nicolas Sarkozy, et confirmé par le Président de l'Assemblée Nationale, Patrick Ollier, le président de la commission des finances sera de l'opposition.
(Voir le résultat de l'élection présidentielle)

L'autre enjeu des élections législatives concerne le financement des partis politiques
Toute formation qui recueille 1% des voix dans 50 circonscriptions bénéficie de 1.66€ par voix et par an pendant la législature (cette somme est réduite en cas de non-respect de la parité)
et 44 394.03€ par député élu pour la législature.
Le Premier ministre, François Fillon, avait indiqué le 5 juin 2007 qu'il proposerait une modification de ce financement pas "adapté". Plusieurs partis vont se retrouver en difficulté financière - alors que la diversité est nécessaire pour le choix.

Le traitement brut du Chef de l'Etat en activité est de 6 751 euros par mois 
Le Premier Ministre en touche 22 249.31
Ses ministres 13 905.82 
Les députés et sénateurs 6 952.91
Un conseiller régional entre 1.477,24 € (-1 million d'habitants) et 2.585,17 € (+3 millions d'habitants),
un conseiller général entre 1.477,24 € (-250.000 habitants) à 2.585,17 € (+1,25 million d'habitants)
un conseiller municipal entre entre 243,74 € (- 500 habitants) et 2.677,5 € (+200.000 habitants);
leurs présidents respectifs (Président du conseil régional, président du conseil général et maire: 2 fois ce traitement
 

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5 juin 2007 2 05 /06 /juin /2007 19:59

Le juge des enfants, Jacques Noris, vice-président du tribunal de Metz (Moselle), a été blessé à coups de couteau ce matin par la mère d'un mineur alors qu'il présidait une audience d'assistance éducative dans son cabinet. 

L'agression a provoqué une vive émotion dans la magistrature et le principal syndicat menace d'appeler les magistrats à cesser le travail si des mesures ne sont pas prises.

"Le vice-président du tribunal de Metz, président du tribunal pour enfants, a été agressé à l'arme blanche pendant l'audience", a déclaré Joël Guitton, procureur de la République de Metz. "La victime, âgée de 62 ans, a été atteinte à l'abdomen malgré l'interposition d'un avocat", dit-il dans un communiqué. Le magistrat, Jacques Noris, a été opéré à l'hôpital Bon secours de Metz. "Ses jours ne sont plus en danger", a indiqué dans la soirée le procureur. 

Selon son avocate, la mère de famille, une femme sans
emploi de 35 ans, l'a agressé à l'issue de l'audience avec un couteau qu'elle portait sur elle lorsque le magistrat a confirmé le placement de son fils, âgé d'un peu moins de trois ans, auprès de sa grand-mère paternelle. Ce placement avait été ordonné il y a un an pour des raisons de carences éducatives. 

"L'audience s'était passée calmement. Je savais qu'elle était extrêmement triste mais je ne m'attendais pas à ça. Elle a commencé à manifester verbalement, a craché au sol. Le magistrat nous a invités à sortir. Elle est restée assise et a sorti son arme", a précisé Me Charlotte Cordebar.
La jeune femme, qui est sans antécédent judiciaire, a été interpellée par la police et placée en garde à vue. Une enquête est ouverte en flagrance pour tentative de meurtre avec préméditation sur la personne d'un magistrat dans l'exercice de ses fonctions. Elle encourt la réclusion criminelle à perpétuité.

Le président de la République, Nicolas Sarkozy a exprimé "son profond soutien" à la victime et s'est élevé, dans un communiqué, contre "cet acte inqualifiable". 

La Garde des Sceaux, ministre de la
Justice, Rachida Dati, s'est rendue sur place dans l'après-midi et a fait part de son émotion aux magistrats qu'elle a rencontrés pendant près de deux heures. 
"J'ai aujourd'hui même demandé à Monsieur l'inspecteur général des Services judiciaires de déterminer les circonstances dans lesquelles une agression d'une telle gravité a pu se produire dans une enceinte judiciaire, et de me dresser sans délai un bilan de la mise en oeuvre du plan d'action pour la sûreté des juridictions. J'ai décidé de prendre des mesures immédiates pour améliorer la sécurité des palais de Justice
, et je débloquerai dans les tout prochains jours les moyens financiers nécessaires", a-t-elle ajouté. 

Pour Joël Guitton, qui préside par ailleurs la Conférence nationale des procureurs de la République, les causes du drame résident dans "l'absence totale de contrôle à l'entrée de l'immense majorité des palais de
justice de province" faute, précise-t-il, de personnel susceptible d'être affecté à ces tâches. 
Il a rappelé  que fin 2005, tous les tribunaux avaient déjà été invités à formuler des propositions pour améliorer leur sécurité après qu'une secrétaire de greffe du palais de justice de Rouen eut été grièvement brûlée par une justiciable qui s'était immolée par le feu. "Nous avons fait en janvier 2006 des propositions écrites qui étaient chiffrées pour ce qui concerne le palais de justice de Metz
à six postes à temps plein. Nous avons eu un portique de détection d'armes qui a été installé sur une ces cinq portes d'entrées et ce portique est dépourvu de tout fonctionnaire pour l'utiliser", a-t-il ajouté. 

L'Union syndicale de la magistrature (USM, majoritaire) a exprimé de son côté sa "consternation" et sa "révolte" et réclamé des mesures immédiates, faute de quoi il menace d'appeler les magistrats à cesser le travail.
"L'USM exige un plan d'urgence de sécurisation des juridictions. A défaut, l'USM appellera les magistrats à exercer leur droit de retrait, partout ou les conditions de sécurité ne seront pas remplies", déclare le syndicat dans un communiqué. 
Rappelon simplement que les magistrats n'ont pas le droit de grève.

Pour les syndicats de magistrats, cette situation est révélatrice de la misère de la
justice française, qui avec un budget de 6,271 milliards d'euros pour 2007 (2,34% du budget de l'Etat), est à un des plus bas niveaux de l'Europe des 27.

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30 mai 2007 3 30 /05 /mai /2007 21:55

Le Conseil de sécurité de l'ONU a formellement créé ce soir, par la résolution 1757 un tribunal international pour juger les assassins de l'ex-premier ministre libanais Rafic Hariri, signalant ainsi son refus d'accepter que ce crime reste impuni.

Il a pris cette décision dans une résolution, adoptée par 10 voix sur 15, qui prend le numéro 1757. Cinq pays se sont abstenus: Chine, Russie, Afrique du sud, Indonésie et Qatar.

Le texte, légalement contraignant, prévoit l'entrée en vigueur automatique le 10 juin de la convention signée l'an dernier entre l'ONU et le Liban créant ce «Tribunal spécial», à moins que d'ici là les parties libanaises s'entendent pour ratifier cette convention.
Il prévoit également que le tribunal «commencera à fonctionner à une date à déterminer par le secrétaire général (de l'ONU), en consultation avec le gouvernement du Liban, et prenant en compte l'avancement du travail de la Commission d'enquête internationale».
Plusieurs diplomates à l'ONU ont estimé que le tribunal ne pourra guère commencer à siéger avant environ un an.

Le principe de la création du tribunal avait été décidé en 2005 par la résolution 1595 du Conseil. Une convention l'établissant a été signée en 2006 entre l'ONU et le gouvernement libanais mais sa ratification par le Parlement de Beyrouth, exigée par la Constitution libanaise, n'a pu avoir lieu en raison de la crise politique au Liban.

Rafic Hariri a été assassiné, avec 22 autres personnes, dans un attentat en février 2005 à Beyrouth, alors sous contrôle syrien. La Syrie a été pointée du doigt dans cette affaire par les enquêteurs de l'ONU mais a démenti toute implication.

Le vote au Conseil de sécurité est intervenu sur fond de divisions et de tensions au Liban, avec regain de violences, combats entre armée et islamistes dans le nord et attentats à Beyrouth

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25 mai 2007 5 25 /05 /mai /2007 02:59

L'état de santé de Nicolas Sarkozy "est bon et intégralement compatible avec l'exercice de ses fonctions présidentielles", selon un certificat médical de son médecin traitant rendu public jeudi par l'Elysée. (Voir la photographie officielle du nouveau Chef de l'Etat)
Le Dr Jean-Elie Henry-Mamou, médecin assistant à l'Hôpital du Perpétuel secours, chargé d'enseignement clinique à la Faculté de Paris VII, a délivré ce certificat le 11 mai 2007 à la demande du nouveau président.

Nicolas Sarkozy s'était engagé pendant la campagne à publier régulièrement son bulletin de santé. "Je ferai de mon médecin une vedette", plaisantait-il le 2 mars dernier lors de l'émission le "Grand Journal" sur Canal+.
La publication de ce certificat médical constitue une nouvelle illustration du changement de style voulu par Nicolas Sarkozy pour marquer les esprits au début de sa présidence après l'insertion pendant le Conseil des ministres d'une nouvelle partie D (débat) après les parties relatives aux lois (A) , nominations (B) et communiqués (C)

La santé du chef de l'Etat est traditionnellement un sujet tabou en France.  Des bulletins de santé même publiés par la Présidence de la République peuvent parfois être en contradiction avec le véritable état de santé du Chef de l'Etat come cela fut le cas pour François Mitterand.
Dominique de Villepin, ancien Premier ministre, effectuait des tests d'effort qu'il communiquait lors des réunions mensuelles, notamment la dernière.

Jacques Chirac n'a jamais communiqué sur le sujet, jusqu'à son hospitalisation en septembre 2005 après un accident vasculaire. 
Son prédécesseur,
François Mitterrand, atteint d'un cancer de la prostate dès novembre 1981, avait sommé son médecin personnel de falsifier ses bulletins de santé pendant plus d'une dizaine d'années.
Valéry Giscard d'Estaing
avait préféré ne pas communiquer sur le sujet. 
Les Français n'ont été informés qu'après sa mort le 2 avril 1974 du cancer de la moëlle osseuse dont souffrait Georges Pompidou.

Aucun texte n'oblige le chef de l'Etat à communiquer sur ce thème.

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24 mai 2007 4 24 /05 /mai /2007 00:33

Philippe Warrin vient de prendre la photographie officielle du Chef de l'Etat qui sera affichée dans toutes les mairies. (Charles de Gaulle, Georges Pompidou et François Mitterand avaient aussi pris la photographie officielle depuis la bibliothèque de l'Elysée: voir les anciennes photographies officielles des Présidents de la Vème République)

Voici la photographie officielle de Nicolas Sarkozy, President de la République:

sarko-officielle.jpg

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22 mai 2007 2 22 /05 /mai /2007 11:30

7 640 candidats dont 3.177 femmes (41,58%) et 4.463 hommes (58,42%), briguent un des 577 sièges de députés à pourvoir, précise le ministère de l'Intérieur.

Le nombre de postulants est inférieur à celui de 2002 où 8.456 candidats - dont 38,5% de femmes - avaient tenté leur chance et 58 d'entre eux avaient été élus dès le premier tour.

La campagne électorale pour le premier tour des élections législatives a été 
ouverte lundi à 0 heure et s'achèvera le samedi 9 juin 2007 à minuit.

Voir l'article sur la composition actuelle de l'Assemblée Nationale présidée par Patrick Ollier.

Les élections législatives ont lieu les 10 et 17 juin 2007.

ALLEZ VOTER.

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18 mai 2007 5 18 /05 /mai /2007 22:47

Les députés ont jusqu'à ce soir minuît pour présenter leur candidature à la députation.
La XIIème législature (2002-2007) présidée par Patrick Ollier - après la nomination de Jean-Louis Debré au Conseil Constitutionnel - était composée de 572 députés (496 hommes et 76 femmes) répartis de la façon suivante:
UMP (sous la présidence de Bernard Accoyer) : 359 dont 43 femmes
PS (sous la présidence de Jean-Marc Ayrault) : 149 dont 25 femmes
UDF (sous la présidence d'Hervé Morin) : 29 dont 1 femme
PCF (sous la présidence d'Alain Bocquet) : 21 dont 4 femmes
N'appartenant à aucun groupe : 14 dont 3 femmes

Du plus jeune, Laurent Wauquiez, 32 ans (UMP) au plus âgé, Georges Hage, 85 ans (PCF), 11 avaient entre 30 et 40 ans; 84 entre 40 et 50 ans; 218 (38,11%) entre 50 et 60 ans; 141 entre 60 et 65 ans; 70 entre 65 et 70 ans; 47 entre 70 et 80 ans et un plus de 80 ans.

Par leur profession, 38 étaient avocats; 5 magistrats; 11 permanents politiques; 1 notaire et 1 huissier; 8 journalistes; 21 professeurs de faculté; 11 chirurgiens; 31 médecins;  7  dentistes; 8 pharmaciens; 1 sage-femme; 6 salarié du secteur médical; 7 vétérinaires notamment.

267 (46.68%) étaient maires; 13 maires d'arrondissement (Paris, Marseille, Lyon), 378 (66.08%) conseillers municipaux. 16 étaient président de conseil général dont 1 femme; 43 vice-président de conseil général dont 6 femmes et 144 conseillers généraux dont 13 femmes. 6 étaient président de région dont 1 femme; 13 étaient vice-président de région dont 4 femmes; 67 étaient conseiller régional dont 18 femmes. Les mandats peuvent se cumuler (député-maire; député-conseiller régional-conseiller municipal)

L'Assemblée Nationale sera renouvelée lors des élections législatives qui se tiennent pour le premier tour le 10 juin 2007 et s'il y a lieu, lors d'un second tour le 17 juin 2007.

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18 mai 2007 5 18 /05 /mai /2007 08:45

Voici comme convenu, après la passation de pouvoir le 16 mai 2007 entre Jacques Chirac, Président sortant et Nicolas Sarkozy, nouveau Président de la République, la liste des membres du nouveau Gouvernement.

Avec un Gouvernement paritaire de 17 membres mené par François Fillon, Premier Ministre, ce Gouvernement remplace les anciens 16 ministres et 14 ministres délégués (voir l'ancienne composition en bas de page).

M. Alain JUPPE, ministre d'Etat, ministre de l'écologie, du développement et de l'aménagement durables ;
M. Jean-Louis BORLOO, ministre de l'économie, des finances et de l'emploi ;
Mme Michèle ALLIOT-MARIE, ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales ;
M. Bernard KOUCHNER, (PS) ministre des affaires étrangères et européennes ;
M. Brice HORTEFEUX, ministre de l'immigration, de l'intégration, de l'identité nationale et du codéveloppement ;
Mme Rachida DATI, garde des sceaux, ministre de la justice ;
M. Xavier BERTRAND, ministre du travail, des relations sociales et de la solidarité ;
M. Xavier DARCOS, ministre de l'éducation nationale ;
Mme Valérie PECRESSE, ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche ;
M. Hervé MORIN, (UDF) ministre de la défense ;
Mme Roselyne BACHELOT-NARQUIN, ministre de la santé, de la jeunesse et des sports ;
Mme Christine BOUTIN, ministre du logement et de la ville ;
Mme Christine LAGARDE, ministre de l'agriculture et de la pêche ;
Mme Christine ALBANEL, ministre de la culture et de la communication, porte-parole du Gouvernement ;
M. Eric WOERTH, ministre du budget, des comptes publics et de la fonction publique ;
M. Roger KAROUTCHI, secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre, chargé des relations avec le Parlement ;
M. Eric BESSON, secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre, chargé de la prospective et de l'évaluation des politiques publiques ;
M. Dominique BUSSEREAU, secrétaire d'Etat auprès du ministre d'Etat, ministre de l'écologie, du développement et de l'aménagement durables, chargé des transports ;
M. Jean-Pierre JOUYET, secrétaire d'Etat auprès du ministre des affaires étrangères et européennes, chargé des affaires européennes ;
M. Martin HIRSCH, haut commissaire aux solidarités actives contre la pauvreté


Voir les nominations à l'Elysée et la cérémonie d'investiture de Nicolas Sarkozy comme 6ème Président de la République Française et la liste des anciens Présidents de la République et le résultat avec les chiffres du second tour de l'élection présidentielle du 6 mai 2007.

Le précédent Gouvernement était composé par Dominique de Villepin, Premier Ministre avec:
M. François BAROIN,
ministre de l'intérieur et de l'aménagement du territoire
Mme Michèle ALLIOT-MARIE, ministre de la défense ;

M. Philippe DOUSTE-BLAZY, ministre des affaires étrangères ;

M. Jean-Louis BORLOO, ministre de l’emploi, de la cohésion sociale et du logement ;

M. Thierry BRETON, ministre de l’économie, des finances et de l’industrie ;

M. Gilles de ROBIEN, ministre de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche ;

M. Pascal CLÉMENT, garde des sceaux, ministre de la justice ;

M. Dominique PERBEN, ministre des transports, de l’équipement, du tourisme et de la mer ;

M. Philippe BAS, ministre de la santé et des solidarités ;

M. Dominique BUSSEREAU, ministre de l’agriculture et de la pêche;

M. Christian JACOB, ministre de la fonction publique ;

M. Renaud Donnedieu de Vabres, ministre de la culture et de la communication ;

Mme Nelly OLIN, ministre de l’écologie et du développement durable ;

M. Hervé MARITON, ministre de l’outre-mer ;

M. Renaud DUTREIL, ministre des petites et moyennes entreprises, du commerce, de l’artisanat et des professions libérales ;

M. Jean-François LAMOUR, ministre de la jeunesse, des sports et de la vie associative ;
Par ailleurs, étaient ministres délégués :

M. Henri CUQ, ministre délégué aux relations avec le Parlement ;

M. Azouz BEGAG, ministre délégué à la promotion de l’égalité des chances ;

M. Jean-François COPÉ, ministre délégué au budget et à la réforme de l’Etat, porte-parole du Gouvernement ;

M. Gérard LARCHER, ministre délégué à l’emploi, au travail et à l’insertion professionnelle des jeunes ;

Mme Catherine VAUTRIN, ministre déléguée à la cohésion sociale et à la parité ;

Mme Brigitte GIRARDIN, ministre déléguée à la coopération, au développement et à la francophonie ;

M. Brice HORTEFEUX, ministre délégué aux collectivités territoriales ;

Mme Catherine COLONNA, ministre déléguée aux affaires européennes ;

M. François GOULARD, ministre délégué à l’enseignement supérieur et à la recherche ;

M. Léon BERTRAND, ministre délégué au tourisme ;

M. François LOOS, ministre délégué à l’industrie ;

Mme Christine LAGARDE, ministre déléguée au commerce extérieur ;
M. Hamlaoui MÉKACHÉRA
, ministre délégué aux anciens combattants ;
M. Christian ESTROSI, ministre délégué à l'aménagement du territoire.

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