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Votre empreinte écologique

18 questions entre alimentation, logement, transport et  consommation
L'empreinte écologique moyenne d'un Français est de 56 400 m²/an. Et vous?
16 mai 2007 3 16 /05 /mai /2007 19:55

Nicolas Sarkozy est devenu ce matin à l'issu de la cérémonie d'investiture au Palais de l'Elysée le 6ème Président de la Vème République (après Jacques Chirac, François Mitterand, Valéry Giscard d'Estaing, Georges Pompidou et Charles de Gaulle) Voir l'article précédent sur la cérémonie d'investiture et le rappel des anciens Présidents de la Vème République.

Claude Guéant, qui a été son directeur de cabinet aux ministères de l'Intérieur et de l'Economie et son directeur de campagne, a été nommé secrétaire général de l'Elysée.Claude Guéant doit avoir pour adjoint François Pérol, un inspecteur des finances qui était également dans son équipe à Bercy et qui aura surtout la  charge des dossiers économiques et sociaux.Raymond Soubie,  créateur d'Altédia, premier cabinet français de conseil en ressources humaines, réputé pour être un expert des négociations sociales, travaillera aux côtés de François Perol.

Jean-David Levitte, ancien collaborateur de Jacques Chirac, ambassadeur de France à Washington, est devenu conseiller diplomatique du nouveau chef de l'Etat et sherpa.

Emmanuelle Mignon, qui a été une des chevilles ouvrières du programme présidentiel de Nicolas Sarkozy à son poste de directrice des études de l'UMP, est directrice de cabinet à l'Elysée.
Elle est secondée au poste de chef de cabinet par Cédric Goubet, un collaborateur de Nicolas Sarkozy au ministère de l'Intérieur.

David Martinon, qui a été son conseiller diplomatique Place Beauvau, devient son porte-parole à l'Elysée, alors que Franck Louvrier, son conseiller en communication, conserve cette fonction à la présidence de la République.

La "plume" de Nicolas Sarkozy pendant la campagne, Henri Guaino, le suit aussi à l'Elysée, avec le titre de "conseiller spécial".

Jérôme Peyrat, directeur général de l'UMP, devient conseiller du président pour les relations avec le Parlement.

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15 mai 2007 2 15 /05 /mai /2007 07:12

Au moment où le Gouvernement de M. Dominique de Villepin remet sa démission au Chef de l'Etat, Jacques Chirac, qui a présidé mercredi dernier son 300ème Conseil des ministres et qui s'adressera ce soir une dernière fois à 20 heures aux Français depuis le Palais de l'Elysée; M. Nicolas Sarkozy, Président de la République élu dimanche dernier et qui prenda ses fonctions demain à 11h, au son des 21 coups de canon tiré des Invalides, après avoir démissionné hier de la Présidence de l'UMP, constitue son Gouvernement.

Demain à 11h, après la lecture du résultat de l'élection par le président du Conseil constitutionnel Jean-Louis Debré, la signature du procès verbal d'investiture, la présentation au nouveau chef de l'Etat, Nicolas Sarkozy, du collier de Grand maître de l'Ordre de la Légion d'Honneur et les honneurs militaires, le nouveau Président -comme ses prédécesseurs - se recueillera devant la Tombe du Soldat Inconnu sous l'Arc de Triomphe puis devant la statue de Georges Clémenceau et celle du Général de Gaulle, fondateur de la Vème République et premier Président de celle-ci. Il rendra aussi hommage aux 35 jeunes fusillés dans le bois de Boulogne en 1944, quelques jours avant la libération de Paris. Nicolas Sarkozy effectuera son premier voyage officiel en Allemagne.

La composition du nouveau Gouvernement devrait être annoncée dans la journée de vendredi par, comme le prévoit le protocole, le Secrétaire Général de l'Elysée.

M. Nicolas Sarkozy, né le 28 janvier 1955 devient à l'âge de 52 ans le 6ème Président de la république Française du 16 mai 2007 au 15 mai 2012.
M. Jacques Chirac, né le 29 novembre 1932, Président du 17 mai 1995 au 16 mai 2007, a été élu à l'âge de 63 ans.
M. François Mitterand, (26 octobre 1916-8 janvier 1996), Président du 21 mai 1981 au 17 mai 1995, a été élu à l'âge de 65 ans.
M. Valéry Giscard d'Estaing, né le 2 février 1926, Président du 27 mai 1974 au 21 mai 1981, a été élu à l'âge de 48 ans (le plus jeune)
M. Alain Poher, Président du Sénat a assuré l'intérim du 2 avril au 27 mai 1974 en vertu de la Constitution.
M. Georges Pompidou, (5 juillet 1911-2 avril 1974) Président du 20 juin 1969 au 2 avril 1974, a été élu à l'âge de 58 ans.
M. Alain Poher, Président du Sénat a assuré l'intérim du 28 avril au 20 juin 1969 en vertu de la Constitution.
M. Charles de Gaulle (22 novembre 1890-9 novembre 1970), Président du 8 janvier 1959 au 28 avril 1969, a été élu à l'âge de 69 ans.

Prochain article dans cette catégorie avec la liste du Gouvernement.

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13 mai 2007 7 13 /05 /mai /2007 23:24

Au moment de la passation de pouvoir qui aura lieu le 16 mai 2007 au Palais de l'Elysée entre Jacques Chirac, Président de la République sortant et Nicolas Sarkozy, Président de la République nouvellement élu le 6 mai 2007 en présence des membres du Gouvernement et des membres du Conseil constitutionnel (devant lesquels Nicolas Sarkozy devra prêter serment de servir le pays) et où les époux Jacques et Bernadette Chirac s’apprêtent à déménager Quai Voltaire à Paris dans un duplex de 180 mètres carrés gracieusement mis à leur disposition par la famille de l’ex-Premier ministre libanais Rafic Hariri, le Journal officiel a publié mardi 24 avril le patrimoine du président de la République, Jacques Chirac, conformément à la loi.

P
rincipal constat: en cinq ans, le patrimoine de Jacques Chirac a légèrement diminué.
En effet, lors de sa déclaration en 2002, il atteignait 1 720 000 euros; en 2007, il n’est plus que de 1,4 million euros. Les biens déclarés par le couple présidentiel - marié sous le régime de la communauté - sont les suivants:

1- Le château de Bity en Corrèze acheté en mars 1969 à l’époque où Jacques Chirac était secrétaire d’Etat à l’Economie et aux Finances. Cette vaste demeure, du XVIe siècle, a été acquise pour 210 000 francs. Aujourd’hui, elle est estimée à  500 000 euros.

2- Une petite maison rurale "de quatre pièces  avec grange et deux annexes de deux pièces" sise à Sainte-Féréole, le village où adolescent, Jacques Chirac passait ses vacances et dont il sera plus tard conseiller municipal. Le président a hérité de cette maison à la mort de ses parents. Elle est évaluée à 60 000 euros.
3- Le président possède en outre des meubles et objets d’art  pour un montant de 200 000 euros. Il déclare également une vieille Peugeot 205, année 1984, dont la valeur vénale est quasi-nulle! Enfin, l’appartement de 114 mètres carrés situé rue de Seine dans le VIe arrondissement de Paris, acquis en 1982 par les Chirac, n’est plus leur propriété. Le président en a fait don à sa fille Claude.

Le président élu, Nicolas Sarkozy, obligé par cette déclaration au Conseil constitutionnel avant sa prise de fonction déclare un patrimoine de deux millions d'euros. Il précise disposer de trois contrats d'assurance-vie à la Société générale pour un montant global de 1.906.487 euros, valeur établie au 31 décembre 2006. Il signale également un contrat d'assurance-vie chez Neuflize Vie pour un montant au 31 janvier 2007 de 135.679 euros.
Sa déclaration mentionne aussi un compte courant à Société générale de 10.082,53 euros 
et des plans d'épargne logement à son nom et à ceux de son épouse Cécilia et de ses trois fils pour un total d'environ d'environ 75.000 euros.
S'y ajoutent deux Codevi, l'un à son nom (4.769,62 euros) et l'autre à celui de Cécilia (5.843,12 euros.)
Le président élu déclare également une "Austin mini" datant de 2006 et évaluée à environ 15.000 euros, mais dit ne posséder ni biens immobiliers, ni objets d'art, ni bijoux, ni aucun "meubles meublants", ni valeurs cotées en Bourse.
Il signale enfin posséder 34% des parts de la société d'avocats SELAS Arnaud Claude-Nicolas Sarkozy, dont aucune évaluation n'est fournie.
Côté passif, Nicolas Sarkozy signale une caution pour 34% à titre personnel "d'un prêt de 7 millions de francs contracté par la SELAS pour le rachat de la clientèle". 
Il mentionne également deux emprunts de 50 000 euros pour les "travaux de décoration de l'appartement" et arrivant à échéance l'un en septembre 2007 et l'autre en septemebre 2009.

Si Jacques Chirac possède un patrimoine coquet, il sera un retraité à l’abri du besoin.
D’abord, parce que, en tant qu’ancien président de la République, il a droit à une pension de 63 000 euros brut par an (fixée par une loi de finances de 1955).
Mais le président Jacques Chirac cumule d’autres retraites. 
Celle de député de Corrèze 5 601.86 € par mois,
celle de conseiller général de Meymac (Corrèze) 2 318.42 € par mois,
Celle de maire de Paris 2 480.57 € par mois,
Sa pension de conseiller référendaire à la Cour des comptes dont il est retraité depuis 1993: 3 148.28 € par mois
soit un total de 13 549.13 € par mois en plus.
Si l’on ajoute son indemnité de membre de droit du Conseil constitutionnel (12 000 euros par mois) en tant qu’ancien président de la République, Jacques Chirac devrait percevoir chaque mois, à compter de la cessation officielle de ses fonctions -le 16 mai en principe- environ 31 000 euros de retraite et traitements divers.

On note que le traitement brut du Chef de l'Etat en activité est de 6 751 euros par mois (le Premier Ministre en touche 22 249.31 euros par mois et ses ministres 13 905.82, ses secrétaires d'Etat 12 124, les députés et sénateurs 6 952.91)
Un conseiller régional entre 1.477,24 € (-1 million d'habitants) et 2.585,17 € (+3 millions d'habitants),
un conseiller général entre 1.477,24 € (-250.000 habitants) à 2.585,17 € (+1,25 million d'habitants)
un conseiller municipal entre entre 243,74 € (- 500 habitants) et 2.677,5 € (+200.000 habitants);
leurs présidents respectifs: 2 fois ce traitement.

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9 mai 2007 3 09 /05 /mai /2007 05:22

Le 1er juillet, les mineurs ne joueront plus: deux décrets publiés hier interdiront aux moins de 18 ans - déjà exclus des casinos et du PMU - tous les jeux de loterie et les pronostics sportifs commercialisés par La Française des Jeux (FDJ).

Annoncée fin janvier par le ministre délégué au Budget Jean-François Copé pour lutter contre la dépendance aux jeux, la mesure est destinée à "protéger les publics les plus fragiles".
Depuis deux ans, la France est pressée par la Commission européenne de justifier son monopole sur les jeux d'argent et de hasard placés sous les tutelles étroites des ministères du Budget (FDJ), de l'Intérieur (casinos) et de l'Agriculture (PMU).
A l'appui de ses refus réitérés d'ouvrir le juteux marché français des Jeux d'Argent et de Hasard (JAH) (20,3 milliards d'euros en 2006) aux opérateurs privés étrangers, la France a toujours avancé la nécessité d'un contrôle étatique pour moraliser et sécuriser ce secteur.
Pour interdire les jeux de la Française des Jeux aux mineurs, le ministère du Budget a suivi un avis du Comité consultatif pour la mise en oeuvre de la politique d'encadrement des jeux et du jeu responsable.

Les jeux sont dangereux pour les personnes qui perçoivent le phénomène d'addiction au point de vivre voir de faire vivre leur famille dans la misère. Les conséquences peuvent être plus graves sur la santé des personnes : suicide, agression des proches ...

E
n 2006, les Français ont laissé chaque jour 55,6 millions d'euros dans les caisses de la Française des Jeux (FDJ), du PMU et des casinos.
Les trois grands opérateurs ont enregistré une recette totale de 20,3 milliards d'euros : 9,5 milliards pour la FDJ et ses 40 000 points de vente; 8,1 milliards pour le PMU, ses 225 hippodromes et ses 8 881 points de vente; 2,7 milliards de produit brut des jeux (différence entre mises et gains) dans les 193 casinos (19 000 machines à sous).
Ce sont ainsi 6 milliards d'euros qui ont alimenté les caisses de Bercy en 2006 en prélèvements divers, taxes et autres impôts.

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6 mai 2007 7 06 /05 /mai /2007 23:55

Voici le premier discours qu'a prononcé Nicolas Sarkozy, une fois les résultats du second tour de l'élection présidentielle 2007 confirmé, le 6 mai 2007 à 22h (Voir les résultats du second tour de l'élection présidentielle)

Mes chers compatriotes,

En m’adressant à vous ce soir, dans ce moment qui est, chacun le comprend, exceptionnel dans la vie d’un homme, je ressens une immense émotion.

J’éprouve depuis mon plus jeune âge la fierté indicible d’appartenir à une grande, vieille et belle nation, la France. Je l’aime comme on aime les êtres chers qui nous ont tout donné. Maintenant c’est à mon tour de tout lui donner.

Ce soir ma pensée va aux millions de Français qui aujourd’hui m’ont témoigné leur confiance. Je veux leur dire qu’ils m’ont fait le plus grand honneur qui soit à mes yeux en me jugeant. digne de présider aux destinées de la France.

Ma pensée va à tous ceux qui m’ont accompagné dans cette campagne. Je veux leur dire ma gratitude et mon affection.

Ma pensée va à Madame Royal. Je veux lui dire que j’ai du respect pour elle et pour ses idées dans lesquelles tant de Français se sont reconnus.

Ma pensée va à tous les Français qui n’ont pas voté pour moi. Je veux leur dire que par-delà le combat politique, par-delà les divergences d’opinions, il n’y a pour moi qu’une seule France.

Je veux leur dire que je serai le Président de tous les Français, que je parlerai pour chacun d’entre eux. Je veux leur dire que ce soir, ce n’est pas la victoire d’une France contre une autre. Il n’y a pour moi ce soir qu’une seule victoire, celle de la démocratie, celle des valeurs qui nous unissent, celle de l’idéal qui nous rassemble. Ma priorité sera de tout mettre en œuvre pour que les Français aient toujours envie de se parler, de se comprendre, de travailler ensemble.

Le peuple français s’est exprimé. Il a choisi de rompre avec les idées, les habitudes et les comportements du passé. Je veux réhabiliter le travail, l’autorité, la morale, le respect, le mérite. Je veux remettre à l’honneur la nation et l’identité nationale. Je veux rendre aux Français la fierté d’être Français. Je veux en finir avec la repentance qui est une forme de haine de soi, et la concurrence des mémoires qui nourrit la haine des autres.

Le peuple français a choisi le changement. Ce changement je le mettrai en œuvre parce que c’est le mandat que j’ai reçu du peuple et parce que la France en a besoin. Mais je le ferai avec tous les Français. Je le ferai dans un esprit d’union et de fraternité. Je le ferai sans que personne n’ait le sentiment d’être exclu, d’être laissé pour compte. Je le ferai avec la volonté que chacun puisse trouver sa place dans notre République, que chacun s’y sente reconnu et respecté dans sa dignité de citoyen et dans sa dignité d’homme. Tous ceux que la vie a brisés, ceux que la vie a usés doivent savoir qu’ils ne seront pas abandonnés, qu’ils seront aidés, qu’ils seront secourus. Ceux qui ont le sentiment que quoi qu’ils fassent ils ne pourront pas s’en sortir doivent être sûrs qu’ils ne seront pas laissés de côté et qu’ils auront les mêmes chances que les autres.

J’appelle tous les Français par-delà leurs partis, leurs croyances, leurs origines, à s’unir à moi pour que la France se remette en mouvement.

J’appelle chacun à ne pas se laisser enfermer dans l’intolérance et dans le sectarisme, mais à s’ouvrir aux autres, à ceux qui ont des idées différentes, à ceux qui ont d’autres convictions.

Je veux lancer un appel à nos partenaires européens, auxquels notre destin est lié, pour leur dire que toute ma vie j’ai été européen, que je crois en la construction européenne et que ce soir la France est de retour en Europe. Mais je les conjure d’entendre la voix des peuples qui veulent être protégés. Je les conjure de ne pas rester sourds à la colère des peuples qui perçoivent l’Union Européenne non comme une protection mais comme le cheval de Troie de toutes les menaces que portent en elles les transformations du monde.

Je veux lancer un appel à nos amis Américains pour leur dire qu’ils peuvent compter sur notre amitié qui s’est forgée dans les tragédies de l’Histoire que nous avons affrontées ensemble. Je veux leur dire que la France sera toujours à leurs côtés quand ils auront besoin d’elle. Mais je veux leur dire aussi que l’amitié c’est accepter que ses amis puissent penser différemment, et qu’une grande nation comme les Etats-Unis a le devoir de ne pas faire obstacle à la lutte contre le réchauffement climatique, mais au contraire d’en prendre la tête parce que ce qui est en jeu c’est le sort de l’humanité tout entière.

Je veux lancer un appel à tous les peuples de la Méditerranée pour leur dire que c’est en Méditerranée que tout se joue, et que nous devons surmonter toutes les haines pour laisser la place à un grand rêve de paix et de civilisation. Je veux leur dire que le temps est venu de bâtir ensemble une Union Méditerranéenne qui sera un trait d’union entre l’Europe et l’Afrique.

Je veux lancer à tous les Africains un appel fraternel pour leur dire que nous voulons les aider à vaincre la maladie, la famine et la pauvreté et à vivre en paix. Je veux leur dire que nous déciderons ensemble d’une politique d’immigration maîtrisée et d’une politique de développement ambitieuse.

Je veux lancer un appel à tous ceux qui dans le monde croient aux valeurs de tolérance, de liberté, de démocratie et d’humanisme, à tous ceux qui sont persécutés par les tyrannies et par les dictatures, à tous les enfants et à toutes les femmes martyrisés dans le monde pour leur dire que la France sera à leurs côtés, qu’ils peuvent compter sur elle.

Mes chers compatriotes, nous allons écrire ensemble une nouvelle page de notre histoire. Je suis sûr qu’elle sera grande et belle, et du fond du cœur ce soir je vous dis :

Vive la République !

Vive la France

Réagissez ...

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6 mai 2007 7 06 /05 /mai /2007 19:12

A l'issue du second tour de l'élection présdentielle qui s'est déroulé le 2 mai 2007 et après 12 ans de présidence de Jacques Chirac suivies de 14 ans de François Mitterand,

le prochain
Président de la République Française
(2007-2012) est
Nicolas SARKOZY

Chers concitoyens, Chers (é)lecteurs, Voici en détail les résultats du second tour de l'élection présidentielle 2007:

Inscrits: 44 372 363; Votants: 37 343 469 (Abstention: 16.03%) Expimés: 35 774 019

Election présidentielle 2 mai 2007 - Second tour
Ségolène Royal (PS) 16 790 611 46.94 %
Nicolas Sakozy (UMP) 18 983 408 53,06 %

Après une maîtrise de droit privé et un DEA de science politiques et un passage à Science Po Paris, il  devient avocat en 1981. 
Conseiller municipal de Neuilly-sur-Seine en 1977, il en devient Maire de 1983 à 2002. 
Il est aussi Vice-Président du Conseil Général des Hauts-de-Seine chargé de l'enseignement et de la culture de 1986 à 1988. Secrétaire national du RPR chargé de l'animation, de la Jeunesse et de la formation en 1989, il est aussi co-directeur de la liste d'union pour les élections européennes. Secrétaire Général adjoint du RPR chargé des Fédérations en 1992 et 1993, il devient membre du Bureau Politique du RPR, secrétaire général de celui-ci en 1998 et président par intérim en 1999. 
Député de la 6ème circonscription des Hauts-de-Seine de 1988 à 2002, il est nommé ministre du Budget, porte-parole du Gouvernement de 1993 à 1995 puis Ministre de l'Intérieur, de la Sécurité Intérieure et des Libertés Locales de 2002 à 2004, il est nommé Ministre de l'Economie, des Finances et de l'Industrie de 2004 à 2005 en même temps que Président du Conseil général des Hauts-de-Seine. 
Président de l'UMP, il est nommé Ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et de l'Amégament du Territoire de 2005 à 2007.

Les élections législatives ont lieu les 10 et 17 juin 2007.

Vive la République et Vive la France.

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5 mai 2007 6 05 /05 /mai /2007 23:01

AUJOURD'HUI 6 MAI 2007
ELECTION PRESIDENTIELLE SECOND TOUR
ALLEZ VOTER.

Vous êtes 43 659 137 électeurs

Vous avez le choix entre:

- Ségolène Royal, candidate du Parti Socialiste (
PS)

- Nicolas Sarkozy, candidat de l'Union pour un Mouvement Populaire (
UMP)

Voir pour plus d'informations l'article sur les résultats du premier tour et les programmes de Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal dans le domaine de la santé et le débat organisé sur la santé à Science Po avec les représentants des 2 candidats.

Voter est un droit,
alors ALLEZ VOTER.

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5 mai 2007 6 05 /05 /mai /2007 20:34

Les nouvelles concernant l'état de santé de l'ancien Premier ministre Raymond Barre, hospitalisé depuis le 11 avril au Val-de-Grâce à Paris, n'étaient "pas bonnes du tout" vendredi, a indiqué samedi une personnalité centriste lyonnaise.
Par ailleurs, interrogés à Paris, des proches de l'ancien Premier ministre ont évoqué un état "stationnaire".

Dans son édition de samedi, le quotidien Le Progrès de Lyon affirmait que Raymond Barre se trouvait "dans un état critique".
L'ancien Premier ministre et ancien maire de Lyon est âgé de 83 ans. Il avait été hospitalisé à Monaco à la suite d'un malaise survenu dans sa maison de Saint-Jean-Cap-Ferrat (Alpes-Maritimes).
De là, il avait été transféré par hélicoptère le 11 avril vers l'hôpital militaire parisien du Val-de-Grâce et admis au service de cardiologie
.
A une insuffisance rénale, dont souffre l'ancien Premier ministre depuis des années, s'ajoutent des problèmes cardiaques, avaient indiqué ses proches.

Né le 12 avril 1924 à Saint-Denis-de-la-Réunion, professeur agrégé de droit et de sciences économiques à Sciences Po, Raymond Barre fait ses premiers pas en politique en 1959 comme chef de cabinet de Jean-Marcel Jeanneney, ministre de l'Industrie et du Commerce du général de Gaulle.
Professeur émérite des universités, cet européen convaincu a été vice-président de la Commission européenne de Bruxelles, chargé des affaires économiques et financières de 1967 à 1973.
En janvier 1976, il devient ministre du Commerce extérieur du gouvernement de Jacques Chirac. Il remplace ce dernier comme Premier ministre de Valéry Giscard d'Estaing jusqu'à la défaite de 1981.
Député du Rhône (apparenté UDF) à partir de 1978, réélu sans discontinuer, il a également été conseiller régional Rhône-Alpes entre 1986 et 1992, avant d'être élu maire de Lyon pour un mandat, de 1995 à 2001.
M. Giscard d'Estaing le présente comme "le meilleur économiste de France".
Candidat à l'Elysée en 1988, M. Barre obtient 16,53%, devancé par François Mitterrand et Jacques Chirac.
Marié à Eva Hegedüs, d'origine hongroise, il a deux fils, Olivier et Nicolas.

L'Hôpital d'Instruction des Armées (HIA) du Val-de-Grâce à Paris dépend du service de santé des armées comme l'HIA Percy à Clamart et l'HIA Begin à saint-Mandé en Ile-de-France.

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4 mai 2007 5 04 /05 /mai /2007 23:37
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3 mai 2007 4 03 /05 /mai /2007 01:24

A l'heure du dernier conseil des ministres de la présidence Chirac, l'Elysée a interdi à Fabienne Pous et Michèle Ganascia, juges d'instruction et vice-présidentes du tribunal de Paris de perquisitionner dans une enquête concernant d'éventuelles pressions sur la justice en marge de l'enquête sur la mort du juge Bernard Borrel à Djibouti en 1995.
Ce dossier visant de supposées "pressions sur la justice" de la part du pouvoir politique a été ouvert en mars, en marge de l'enquête sur la mort du magistrat français Bernard Borrel à Djibouti en 1995.
Le corps du coopérant français et conseiller technique auprès du ministère de la Justice djiboutien avait été retrouvé carbonisé en octobre 1995. L'hypothèse du suicide avait été d'abord retenue mais la piste criminelle est désormais suivie, après des expertises médico-légales.

Les magistrates avaient déjà perquisitionné le Quai d'Orsay et le ministère de la Justice à la veille du premier tour l'élection présidentielle.

Les deux juges ont trouvé porte close à l'Elysée. L'entrée leur a été refusée au nom de l'article 67 de la Constitution qui protège le Président de la République durant son mandat.
Les magistrates Fabienne Pous et Michèle Ganascia souhaitaient perquisitionner les locaux de la cellule « Afrique » de l'Elysée avant la valse des passations de pouvoir au lendemain de l'élection présidentielle. Elles craignent que ne disparaissent certaines pièces. Accompagnées d'experts et de policiers, elles sont donc arrivées vers 10h mercredi matin devant l'entrée annexe de l'avenue de Marigny, alors que débutait le dernier conseil des ministres de Jacques Chirac.
Se voyant refuser l'accès et l'Elysée étant considéré comme une zone militaire, les juges ont requis le feu vert du gouverneur militaire de Paris pour se voir accorder l'accès aux locaux. Il apparaîtrait que le gouverneur n'a pas la compétence de donner l'autorisation immédiate de perquisitionner. Le code de procédure pénale indique qu'un juge d'instruction doit adresser préalablement à l'autorité militaire des réquisitions motivées. L'autorité militaire est obligée d'y accéder.

Fabienne Pous et Michèle Ganascia ont donc patienté dans l'enceinte du palais avec leur greffiers, sans pouvoir accéder à la cellule "Afrique".
L'Elysée a mis fin aux discussions en évoquant l'article 67 de la Constitution, après une heure et demi d'attente. L'article 67 stipule que le Président de la République ne peut pas durant son mandat "être requis de témoigner, non plus que faire l'objet d'une action, d'un acte d'information, d'instruction ou de poursuite".

Les magistrates ne se sont évidemment pas exprimées publiquement mais dehors, les avocats de la partie civile ont protesté. Me Olivier Morice et Jean-Luc Forget ont assuré qu'une des juges avait même été bousculée par un gendarme. "On vient de les empêcher de faire leur travail en arguant du fait qu'on ne peut pas faire de perquisitions dans cet endroit", a déclaré à la presse Me Morice.Evoquer l'article 67 de la Constitution est pour lui hors-sujet. "Il ne s'agissait donc pas de venir dans le bureau du président de la République. Nous sommes scandalisés, c'est intolérable", a-t-il ajouté.

Réactions dans la magistrature
Le Syndicat de la magistrature (SM, classé à gauche) estime que le refus de la présidence de la République d'ouvrir hier ses portes à deux juges pour une perquisition est une entrave à la justice. "C'est très clairement une entrave à l'action judiciaire pour gagner du temps", a déclaré Helène Franco, secrétaire générale du syndicat.
Selon elle, la présidence s'est appuyée de manière erronée juridiquement sur l'article 67 de la Constitution, qui définit le statut judiciaire du chef de l'Etat. Elle estime que l'action des magistrates visait à récupérer les preuves à l'appui de leur enquête avant qu'elles ne soient éventuellement détruites après le changement de président. "Si on devait trouver quelque chose (dans l'affaire Borrel à la cellule Afrique), c'était maintenant et pas après l'élection", a-t-elle assuré.
Même écho du côté de l'Union syndicale des magistrats (USM,majoritaire et classée à droite).
"C'est une obstruction à la justice. Ce n'est pas le bureau du président ni lui qui sont mis en cause", a affirmé Bruno Thouzellier, président de l'USM. Il estime que l'article 67 de la Constitution, évoqué par l'Elysée à l'appui de son refus, ne s'applique pas à cette affaire, les juges visant la cellule Afrique de la présidence. "Notre syndicat n'est pas juge de l'opportunité du travail de nos collègues, mais elles doivent exercer leurs prérogatives sans entrave", a-t-il ajouté.

Fabienne Pous et Michèle Ganascia n'en étaient pas à leur coup d'essai. Elles avaient déjà perquisitionné, les 19 et 20 avril derniers, le Quai d'Orsay et le ministère de la Justice dans la même affaire, emportant de nombreux documents.

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23 avril 2007 1 23 /04 /avril /2007 01:39
Chers (é)lecteurs, Voici les résultats du premier tour de l'élection présidentielle 2007:

Inscrits: 43 659 137; Votants: 36 935 630 (Abstention: 15.40%) Expimés: 36 401 391

Nombre de votes pour chacun des candidats

Olivier Besancenot, candidat de la Ligue Communiste Révolutionnaire (LCR)

1 494 721

4.11

Marie-Georges Buffet, candidate du Parti Communiste (PCF)

705 830

1.94

Gérard Schivardi, candidat du Parti pour les Travailleurs (PT)

123 318

0.34

François Bayrou, candidat de l'Union Démocratique Française (UDF)

6 750 869

18.55

José Bové, candidat

479 222

1.32

Dominique Voynet, candidate des Verts

570 324

1.57

Philippe de Villiers, candidat du Mouvement Pour la France (MPF)

815 851

2.24

Ségolène Royal, candidate du Part Socialiste (PS)

9 405 055

25.14

Frédérice Nihous, candidat de Chasse, Pèche, Nature et Traditions (CPNT)

420 112

1.15

Jean-Marie Le Pen, candidat du Front National (FN)

3 824 771

10.51

Arlette Laguiller, candidate de Lutte Ouvrière (LO)

486 577

1.34

Nicolas Sarkozy, candidat de l'Union pour un Mouvement Populaire (UMP)

11 324 741

31.11


Les deux candidats qui s'affrontent donc au second tour de l'élection présidentielle le 6 mai 2007 sont Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal.
Comme je l'ai fait avant le 1er tour (voir les programmes des candidats à la présidentielle dans le domaine de la santé), Voici dans le domaine de la santé leurs programmes respectifs:


NICOLAS SARKOZY

 Il faut que la revalorisation du C à 23 euros intervienne au plus vite, avait déclaré  au "Quotidien" le candidat UMP en février. Nicolas Sarkozy se dit prêt à ouvrir des espaces de liberté tarifaire aux médecins qui s’engageront dans l’évaluation de leurs pratiques  et dans la FMC.  Il faut absolument, dit-il, améliorer les conditions de  la médecine libérale car  « les médecins sont épuisés ». Etre intraitable avec les gaspillages, les abus et les fraudes. A l'hôpital, mettre fin au "désordre" des 35 heures avec des bonus pour les personnels qui veulent travailler plus. Pour financer le déficit de la Sécurité sociale, le candidat a annoncé, durant la campagne, qu'il souhaitait mettre en place quatre franchises annuelles non remboursables sur les soins (consultations, hôpital, analyses, médicaments) et expérimenter une TVA sociale.

SES PRINCIPALES PROMESSES ET PROPOSITIONS 

Médecine libérale
Maintenir le pilier de la tarification à l’acte (sans interdire d’autres modes de rémunération).
Aligner au plus vite les honoraires des généralistes sur ceux des spécialistes
Instaurer de nouveaux espaces de liberté tarifaire encadrée
Etre intraitable avec les gaspillages, les abus et les fraudes
Simplifier les tâches administratives, réduire la bureaucratie

Démographie/Permanence des soins
Encourager la constitution de cabinets de groupe
Desserrer le
numerus clausus
Programmation pluriannuelle des effectifs spécialité par spécialité

Politique hospitalière
Autonomie de gestion accrue des établissements
Création d'un conseil de surveillance et d'un directoire dans les hôpitaux
Mettre fin au "désordre" des 35 heures avec des bonus pour les personnels qui veulent travailler davantage
Instaurer un système d'évaluation permanente de la qualité dans les établissements avec publication des résultats
Equité de traitement entre  public et  privé
Généraliser les réseaux ville-hôpital

Sécurité sociale
Expérimenter une TVA sociale
Créer une cinquième branche de la protection sociale (dépendance)
Augmenter le remboursement des soins dentaires et optiques
Mettre en place quatre franchises annuelles non remboursables sur les soins (consultations, hôpital, analyses, médicaments)
Gestion déconcentrée sous l'égide d'agences régionales de la santé
Augmenter l'aide à l'acquisition de complémentaires santé

Santé publique
Engager un plan Alzheimer
Développer la prévention du sida
Poursuivre le plan Cancer
Programme de recherche sur les maladies neurodégénératives
Doubler en cinq ans les moyens de la recherche médicale
Tripler en cinq ans le budget consacré aux politiques de prévention

  SEGOLENE ROYAL

 La candidate du PS trouve « bien naturel » le mécontentement des médecins généralistes après la réforme de 2004. Elle entend leurs aspirations à de meilleures conditions de travail et d'exercice, même si elle se refuse à leur faire des « promesses (tarifaires) inconsidérées ». Les dispensaires qu'elle propose dans les zones sous-médicalisées pourront abriter des professionnels à statut différent et expérimenter des rémunérations mixtes. Le chiffrage de son pacte prévoit 2,5 milliards d'euros pour l'hôpital, dont la situation financière « n'est pas saine », estime-t-elle. En matière de Sécurité sociale, elle est pour la suppression du forfait de 1 euro sur chaque acte et du forfait de 18 euros sur les actes techniques lourds ; pour une hausse de la CSG. 


 
SES PRINCIPALES PROMESSES ET PROPOSITIONS
Médecine libérale
Réforme des parcours de soins pour assurer l’opposabilité des tarifs.
Mise en valeur de la médecine de première intention.
Sanction des refus de soins aux bénéficiaires de la CMU.

Démographie médicale/Permanence des soins
Création en milieu rural et dans les quartiers urbains sensibles de dispensaires pluridisciplinaires (avec des formes de rémunération mixtes).
Desserrement du numerus clausus dans certaines filières.
Evaluation des aides incitatives à l’installation, développement d’autres pistes, comme l’attribution d’allocations conditionnelles pendant les études et l’ouverture de temps partiels hospitaliers.

Politique hospitalière
2,5 milliards d'euros supplémentaires pour l'hôpital public
Remise à plat de la T2A et financement pérenne de l'hôpital public à la hauteur de ses missions, en veillant à l'égalité territoriale d'accès aux soins
Maintien des 35 heures

Sécurité sociale
Carte santé pour les jeunes de 16-25 ans permettant une consultation gratuite par semestre et gratuite des soins pour les enfants de moins de 16 ans (sans mutuelle)
Suppression du forfait de 1 euro sur chaque acte et du forfait de 18 euros sur les actes techniques lourds
Hausse de la CSG
Annulation de la réforme de l'aide médicale d'Etat (AME, destinée aux étrangers en situation irrégulière)
Création d'une cinquième branche de la Sécurité sociale pour prendre en charge la dépendance
Développer le maintien à domicile des personnes âgées et augmenter le nombre de places dans les structures d'accueil

Santé publique
Lancement d'un grand plan de prévention et de recherche des maladies graves (cancer, sida, Alzheimer, maladies orphelines
Budget de la recherche publique en hausse de 10 % par an sur cinq ans
Mise en place d'une politique de lutte contre l'obésité, fondée sur une détection précoce et des actions sur la qualité de l'alimentation
Contraception gratuite pour les jeunes femmes de moins de 25 ans
Renforcement des moyens de la médecine scolaire et universitaire
Plus de moyens et indépendance renforcée pour les médecins du travail (selon des modalités à négocier avec les partenaires sociaux)
Légalisation de l'euthanasie
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21 avril 2007 6 21 /04 /avril /2007 23:00

AUJOURD'HUI 22 AVRIL
ELECTION PRESIDENTIELLE
1er TOUR
ALLEZ VOTER.

Vous êtes 43 973 024 électeurs

Vous avez le choix entre:
- Olivier Besancenot, candidat de la Ligue Communiste Révolutionnaire (LCR)
- Marie-Georges Buffet, candidate du Parti Communiste (
PCF)
- Gérard Schivardi, candidat du Parti pour les Travailleurs (
PT)
- François Bayrou, candidat de l'Union Démocratique Française (
UDF)
- José Bové,
candidat
- Dominique Voynet, candidate des Verts
- Philippe de Villiers, candidat du Mouvement Pour la France (MPF)
- Ségolène Royal, candidate du Part Socialiste (
PS)
- Frédérice Nihous, candidat de Chasse, Pèche, Nature et Traditions (CPNT)
- Jean-Marie Le Pen, cadidat du Front National (
FN)
- Arlette Laguiller, candidate de Lutte Ouvrière (LO)
- Nicolas Sarkozy, candidat de l'Union pour un Mouvement Populaire (
UMP)

Voter est un droit,
alors ALLEZ VOTER.

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15 avril 2007 7 15 /04 /avril /2007 04:31

A quelques jours du premier tour de l'élection présidentielle, le Conseil supérieur de la magistrature (CSM), organe constitutionnel présidé statutairement par Jacques Chirac et chargé de gérer la carrière des magistrats, a officialisé des nominations déjà approuvées auparavant en interne.
Les membres ont été nommés par arrêté le 4 juin 2006 pour 4 ans non renouvelables
. (Voir le communiqué intégral de la Présidence de la République suite à la réunion du Conseil Supérieur de la Magistrature CSM)

Vincent Lamanda, 60 ans, président de la cour d'appel de Versailles, devient premier président de la Cour de cassation, poste laissé vacant depuis la nomination de Guy canivet au Conseil constitutionnel (voir l'article sur la nomination des nouveaucx membres du Conseil constitutionnel).
Jean-Claude Magendie, 62 ans, actuel président du tribunal de Paris, passe premier président de la cour d'appel de Paris.
Il est remplacé à son ancien poste par Jacques Degrandi, 58 ans, actuel président du tribunal de Nanterre
.

Neuf autres présidences de cours d'appel sont également renouvelées, à Versailles, Colmar, Orléans, Bordeaux, Limoges, Toulouse, Rouen, Caen, Saint-Pierre et Miquelon, ainsi que les présidences de dix tribunaux.

Le Syndicat de la magistrature, classé à gauche, avait dénoncé par avance la semaine dernière ces nominations, qu'il voit comme une "reprise en mains" et qui marquent pour lui "la nette progression de la fraction la plus conservatrice de la magistrature".
L'Union syndicale de la magistrature, majoritaire et apolitique, se refuse pour sa part à voir des intentions politiques dans ces nominations.

Les trois instances qui changent de titulaires sont cruciales pour l'avenir des principales "affaires" politico-financières, dont certaines menacent Jacques Chirac après son départ de l'Elysée.
Vincent Lamanda a été chef de cabinet du ministre RPR de la Justice Alain Peyrefitte en 1977 et 1978, puis conseiller technique à son cabinet jusqu'en 1981. En 1994-1995, sous le gouvernement d'Edouard Balladur, il fut président de la commission de l'informatique au ministère de la Justice.
Vincent Lamanda a été préféré par le CSM à Bruno Cotte, actuel président de la chambre criminelle de la Cour de cassation, présenté comme proche de la gauche.
Les deux autres magistrats promus sont présentés dans la magistrature comme proches de l'actuelle majorité.

Les deux syndicats de magistrats avaient protesté en septembre dernier contre la nomination au poste de procureur général de Paris de Laurent Le Mesle, jusque là conseiller de Jacques Chirac à l'Elysée. (voir l'article relatif à la nomination de Laurent Le Mesle)

Dernier mouvement contesté par certains, et déjà acquis, le juge d'instruction financier Philippe Courroye, présenté comme proche de Nicolas Sarkozy, sera installé le 25 avril dans ses nouvelles fonctions de procureur de Nanterre (Hauts-de-Seine), au coeur du fief électoral du candidat de l'UMP, malgré un avis défavorable du CSM. L'avis du CSM est seulement consultatif pour les postes de parquet et le gouvernement est souvent passé outre ces dernières années.

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10 avril 2007 2 10 /04 /avril /2007 00:22

Après avoir dévoilé une plaque dans la crypte du Panthéon le 18 janvier 2007 en l'honneur des Justes parmi les nations (voir l'article - avec le discours du Chef de l'Etat - sur la cérémonie nationale en l'honneur des Justes de France), le Président de la République, Jacques Chirac, a souhaité honorer les Françaises et les Français reconnus comme Justes parmi les nations en les nommant dans l'Ordre de la Légion d'honneur - promotion Pâques 2007.

Voici ce qui est inscrit sur la plaque inaugurée le 18 janvier 2007 par Jacques Chirac, Président de la République et Simone Veil, Présidente de la Fondation pour la mémoire de la Shoah, dans la crypte du Panthéon:
"Sous la chape de haine et de nuit tombée sur la France pendant les années d'occupation, des lumières, par milliers, refusèrent de s'éteindre.
Nommés "Justes parmi les nations" ou restés anonymes, des femmes et des hommes de toutes origines et de toutes conditions ont sauvé des juifs des persécutions antisémites et des camps d'extermination.
Bravant les risques encourus, ils ont incarné l'honneur de la France, ses valeurs de justice, de tolérance et d'humanité.
"

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28 mars 2007 3 28 /03 /mars /2007 09:53

Les chiffres viennent d'être publiés par le ministère de l'Intérieur: pour le premier tour de l'élection présidentielle qui a lieu le 22 avril 2007,
43 973 024 électeurs sont inscrits en métropole et 535 000 français à l'étranger. Ce chiffre résulte de campagnes d'incitation lancées dans le dernier trimestre 2006 et par la mobilisation des associations.
Voir l'article sur le nombre de candidats présents à l'élection présidentielle retenus par le Conseil constitutionnel.

Je vous rappelle que l'élection présidentielle a lieu pour le premier tour le 22 avril 2007 et pour le second tour le 6 mai 2007.

Les candidats sont, dans l'ordre établi par tirage au sort du Conseil constitutionnel: 
- Olivier Besancenot, candidat de la Ligue Communiste Révolutionnaire (LCR)
- Marie-Georges Buffet, candidate du Parti Communiste (
PCF)
- Gérard Schivardi, candidat du Parti pour les Travailleurs (
PT)
- François Bayrou, candidat de l'Union Démocratique Française (
UDF)
- José Bové,
candidat
- Dominique Voynet, candidate des Verts
- Philippe de Villiers, candidat du Mouvement Pour la France (MPF)
- Ségolène Royal, candidate du Part Socialiste (
PS)
- Frédérice Nihous, candidat de Chasse, Pèche, Nature et Traditions (CPNT)
- Jean-Marie Le Pen, cadidat du Front National (
FN)
- Arlette Laguiller, candidate de Lutte Ouvrière (LO)
- Nicolas Sarkozy, candidat de l'Union pour un Mouvement Populaire (
UMP)

Les élections législatives ont lieu le 10 juin 2007 pour le premier tour et le 17 juin 2007 pour un éventuel second tour.

Voter est un droit,
alors ALLEZ VOTER.

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